« Dans l’infiniment petit ou l’infiniment grand, J-J Lantourne se meut au cœur de éléments de la nature et exprime sa conscience d’en faire partie. Une esquisse de soleil, un mystère qui se terre derrière des signes.... »

Sophie Parfait (Sud-Ouest)

« Outre l’esthétisme, c’est à l’imaginaire que s’adresse cet artiste sensible, aux couleurs nuancées comme le sont celles d’un brouillard sur un port, d’un corps au réveil ou d’une rencontre improbable. Ses blancs sont comme ses images : nuages qui s’effilochent, draps froissés, hasard d’une nuit en clair-obscur. Car la frontière qu’il impose entre couleur et lumière fait songer à « l’obscure clarté » du poète. C’est l’univers classique qui nous pénètre. Un peu comme le monde après Chirico et avant  le chaos. »

Jean-Christophe Thomas (La Dépêche)

« La large liberté d’interprétation et d’appréciation que procure la démarche de Lantourne sollicite cette dimension magique intérieure que chaque humain cultive pour espérer à tout moment percer le mystère de son aventure. »

Bruno Rapin (Directeur du Centre Culturel d’Agen)

« Une ligne, des couleurs, et puis l’aventure de la création... et ça donne ces impressions de matière : terre, métal, eau ; ces ambiances de feu, de paysages glacés, de cavernes... Des choses très palpables, même si elles sont à priori indéfinies : place à votre propre imagination, à votre propre rêve. C’est le spectateur qui termine le tableau. »

Christine Caubet (Sud-Ouest)